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Allez, je vous rassure, mon périnée a été épargnée, je suis toujours comme une jeune fille, c'est merveilleux (au moins ça de gagné, hop hop parce que pour les vergetures de bide, c'est mort à moins qu'un mécène me finance une chirurgie abdominale, mais je ne connais personne qui ne s'est présenté, quel dommage, dire que la grossesse m'a bouffé la cellulite, allez y'a de l'espoir baby, puisque je te le dis).
Bref, en tout cas une chose est sûre, le pregnancy time n'a pas arrangé l'afflux neuronal aux endroits stratégiques, l'avantage étant que je m'en rende compte.... Quoique.
Ne croyez pas que les gros bébés soient plus difficiles à sortir. Que nenni. C'est pour descendre que ça a été difficile, jusqu'au bout il a voulu profiter de mon utérus fatigué mon enfant, même si le liquide amnio ressemblait à une piscine municipale pas nettoyée avec des algues sur les bords. L'avantage de la grossesse, enfin de celle-ci pour ma part, c'est que je dormais trop trop bien, j'ai dû faire deux insomnies et encore, et là on dirait que je paie tout le sommeil emmagasiné depuis neuf mois, paf cette nuit vous prendrez combien? Bah allez 2h50 ça ira pour aujourd'hui. ça c'est dur.
Et là je vais me faire taper je le sais, je rentre dans tous mes futals d'avant grossesse, même ceux dans lesquels je ne rentrais plus à cause de mes traitements aux corticoïdes 2009 (je devais avoir un cul monstrueux, la vache)
voilà ça me fait penser à ça:
au prochain épisode: comment le sosie (méchant) de Kathy Bates est venu hanter mes nuits à la maternité.